01/06/2023 , Temps estimé de lecture : 1 min
Bien sûr, les parents veulent le mieux pour leurs enfants.
Mais comment définir le mieux ?
Si on se réfère à l’actualité, des courants éducatifs
s’opposent : d’un côté l’éducation positive, et de l’autre, une éducation
plus « musclée », sans aller jusqu’à l’éducation « à
l’ancienne » où l’enfant n’avait qu’une chose à faire : se taire.
Il est admis depuis finalement peu de temps au vu de notre
histoire que l’enfant est une personne, et qu’il a des droits. J’ai tendance à
toujours ajouter que chaque personne qui a des droits a également des devoirs.
Et pour moi l’enfant n’échappe pas à la règle.
Et c’est le rôle des parents de lui enseigner ces deux aspects qui font qu’un
jour il pourra devenir un adulte et un citoyen, capable de vivre avec les
autres.
Alors ça, c’est la théorie. Dans la pratique, pas si simple
de conjuguer le vivre ensemble en couple, en famille, la vie professionnelle et
garder un semblant de vie personnelle !
Il peut être souhaitable de demander de l’aide.
Dans mon cabinet, l’aide peut être de différents
ordres :
Je n’ai pas les solutions magiques ! J’accueille et je
guide chaque membre d’une famille à trouver sa solution ou leurs solutions,
celles qui sont réalistes et réalisables, dans le respect de chaque membre de
la famille.
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Côté corps, on parle de plutôt de la capacité à procréer. Le mot n’est peut-être pas romantique, mais il décrit parfaitement le sujet du jour.